Article épinglé

COVID et CRIMES

La folie d'agression de Fiammetta et Caroline Fourest contre moi.



L'art raffiné des insinuations perverses pour faire croire à des mensonges énormes.

Caroline et Fiametta se plaisent à refaire l'histoire. Et inverser les rôles. En me présentant comme quelqu'un qui leur en voudrait et les agresserait ...

Nous nous connaissons depuis 1993, 1996.

Jusqu'à 2010, j'ai pensé que nous étions d'abord dans le même camp et que les actions déplorables et répugnantes qu'elles pouvaient faire étaient des péchés de jeunesse, et certainement pas des raisons pour les combattre, alors que nous étions d'abord dans le même camp.

En 2010, Fiammetta m'a attaquée, de manière extrèmement grave et publique. Et Caroline m'a calomniée publiquement. Et leurs adeptes ont suivi. Certaines de nos amies communes, en toute connaissance de cause. D'autres, qui ne me connaissaient pas, manifestement sur la foi de mensonges sur moi.

Je ne suis pas du tout étonnée qu'elles puissent faire croire les pires calomnies sur moi à des féministes qui ne sauraient imaginer qu'on les trompe sciemment à un tel point.

La petite phrase de Caroline Fourest parue dans " Conspiracy Watch" sur moi est un modèle d'insinuation par création d'une fausse impression mais sans affirmation franche de à quoi l'on veut faire croire. Caroline écrit : " Je connais bien la collaboratrice qui a écrit ce billet, qui relève à la fois de la médecine et de la justice. Ma revue, ProChoix, l’a défendue quand elle a été victime de messages antisémites, il y a dix ans, sur internet.". Tout est faux dans cette phrase. Jamais je n'ai été ni dit avoir été victime de messages antisémites sur internet, par contre j'ai été témoin de tels messages, c'est différent. Mais le pire est ailleurs. Caroline n'écrit pas que j'aurais été victime d'antisémitisme, jamais elle n'affirme donc que je suis juive. Non, seulement de "messages antisémite", comme pourrait l'être .. une personne relevant de la médecine et se faisant passer pour juive. D'où le message de Nathalie Szuchendler, rédactrice de Prochoix, affirmant que je me ferais passer pour juive alors que je ne le serais pas.

Je ne suis pas étonnée car auparavant, elles avaient attaqué nombre de militantes de notre camp, de personnes qui avaient milité avec elle, ou de féministes universalistes.

De deux de mes amies, elles m'ont affirmé "les yeux dans les yeux " qu'elles avaient fait ou pensé des choses très graves et incroyables. Sans preuve, mais avec juste un aplomb incroyable. Le bluff total. J'aurais pu y croire, comme y ont cru les fans de Fiam et Caroline qui ne me connaissent pas.

L'une de ces amies ayant le tort d'être étudiante en sciences politique et féministe, écrivant sur la question des femmes en politique, donc une concurrente objective pour Fiammettta.

L'autre ayant le tort de parler d'Israel de manière en effet critiquable. Un procès d'intention en antisémitisme qui plus est par personne interposée à qui l'on aura fait croire qu'il faut taper sur la féministe en question parce qu'elle est antisémite : c'est y pas malin ça pour se faire une réputation de juste dénonciateur des turpitudes invisibles aux autres, sans avoir l'air d'y toucher soi même ?

Elles ont ainsi attaqué Pierre Tévanian, qui ne s'est pas laissé faire et a narré par le menu ces attaques et intimidations sur le site "les mots sont importants". Puis d'autres personnes de gauche ou féministes.

Pour ma part, j'estimais que les conduites "inappropriées" comme disent les américains, de Caroline et Fiam envers moi étaient des broutilles, sans gravité, que la priorité était les combats que nous partagions, ce qui impliquait d'être solidaire, et surtout pas de dénigrer les autres militantes.

Pour ma part, j'estimais que les articles de Riposte laïque contre elles en 2008-2009 étaient inutiles et risquaient de desservir notre cause en nuisant à l'image des militants "féministes laiques" disons.

Les attaques de Fiammetta et Caroline contre moi en 2010, sont d'une violence incroyable, à tous niveaux; à laquelle je n'ai même pas cru sur le moment. Elles m'ont agressées, et non l'inverse. Elles affirment maintenant que l'histoire serait inverse. D'où cette mise au point.

Aujourd'hui autour d'elles est répandu le bruit que je les attaquerais moi parce que j'aurais viré de bord, et que je serais devenue une raciste haissant les musulmans :  voilà l'ignominie, le tombereau de merde que déversent sur moi des personnes qui leur sont proches. Car n'est plus faux et immonde que cette accusation là. Voilà où mène la haine et la rage.

Car la leur, de haine et de rage contre moi a une raison claire : elles ne peuvent pas répondre sur le fond à mes écrits, elles ne peuvent pas être ce que je suis non plus, juive et militante pour les droits humains alors qu'elles étaient encore en couches culottes.

Elles jouent sur du velours, parce que moi, à la différence d'elles, à la différence de leurs amis au CRIF, je suis réellement en danger, non pas à cause de ce que je dirais "des musulmans" mais à cause doublement, de ce que je dis du dieu du coran et parce que je suis juive. Je ne suis donc pas libre de me défendre aussi facilement qu'il leur est facile de m'attaquer.







Aucun commentaire: