Article épinglé

COVID et CRIMES

Eva Kor, enfant victime de Mengele, et Oskar Gröning





Médecins : ce qu'ils vivent en cas d'arrêt de grossesse


Ce que les médecins et infirmières peuvent voir en cas d'arrêt de grossesse prématurée ( attention, images très dures )

En cas de fausse couche ou d'IVG, l'enfant apparaît bien vivant et bougeant très tôt, et la réalité est très dure pour les parents et pour les soignants ou éventuellement pour les autres militants qui ont fait des IVG.





Quand des médecins ou infirmières disent ne pas pouvoir supporter de faire quantité d'IVG, il faut savoir ce qu'ils vivent alors pour le comprendre. 

Témoignages juifs pour Pie XII

https://rcf.fr/spiritualite/vie-de-leglise/pie-xii-et-israel-zolli-quand-le-grand-rabbin-de-rome-recevait-le-baptem

" PMA " et femmes seules


Interdire la PMA aux femmes seules ?
Et pourquoi pas contrôler leurs jours de règles comme en Chine ?  Les femmes doivent rester sous contrôle, et ne faire d'enfants que sous permission masculine.
On pourrait résumer la situation en disant que dans cette société d'hommes infantiles, des femmes défendent le droit de donner naissance, de perpétuer la vie ... Les hommes rationnels eux, nous expliquent qu'il faut et qu'il suffit d'importer les enfants des autres pour assurer leur avenir économique, ne veulent guère d'enfants ni permettre aux femmes d'en avoir "seules" ...

" Les hommes n'ont plus envie de faire d'enfants, ce qui n'est pas non plus très naturel, on est beaucoup dans une société du plaisir,  dans l'instant, on est beaucoup moins dans une projection à long terme, on veut vivre le temps qui nous reste " ...

" Tous mes ex amoureux ne voulaient pas d'enfant "

https://youtu.be/4uyt5C3BUcc


Les cas de non choix de l'avortement


Il faudrait arrêter le déni, tout déni, toute occultation, est dol, privation par principe du droit de décider en toute lucidité.

La vie humaine, la vie commence à la fécondation, les premières cellules nées de la première forment un individu vivant et unique au monde.

Incitation à l'avortement, droit de décider de la vie d'autrui, obligation des soignants ...

La quantité et la gravité des situations de contrainte, de pression, de mépris de la vie d'autrui, dans les récits qui suivent sont frappants.

Les femmes sont victimes de pressions diverses, les médecins et soignants aussi,
certains hommes sont oubliés.

Les auteurs des pressions sont dans l'impunité la plus totale aussi violente qu'ait été leur action, dès lors qu'ils évitent la contrainte physique.

Les médecins et militant-e-s vivent au quotidien ce qu'on leur enjoint d'épargner aux femmes de vivre : voir les embryons vivants puis morts.

Suffit il de ne pas voir pour ne pas imaginer et vivre émotionnellement ?

La loi donnant un droit à l'avortement est indispensable pour reconnaître que personne mieux que la femme concernée ne peut décider de sa grossesse. Quels effets a -t-elle ?
Elle permet d'éviter les situations d'avortements les plus dangereux et tardifs, et encore pas toujours, d'une part.
Mais d'un autre côté, en légitimant un acte dans le principe, elle a aussi pour résultat un manque de réflexion des adultes, dont certains s'aperçoivent seulement au moment où ils se retrouvent parents inattendus, des questions soulevées par leur situation.

Le droit à la sexualité "libre", sans frein, nécessite le droit d'avorter. Aucun moyen de contraception n'est totalement efficace.

Dès lors il y a un choix éthique à faire, et ce choix doit être clair. Sans quoi la sexualité sans frein n'est pas une sexualité réellement libre.

Des femmes meurent d'avorter, les unes parce qu'elles l'ont fait sans aide médicale, ou malgré l'aide médicale, les autres parce qu'elles n'ont pas voulu avorter ou se sont rendu compte trop tard qu'elles ne l'auraient pas voulu.

Des hommes souffrent de la perte d'un enfant, même quand sur le moment ils ne l'ont pas voulu.

Le droit à la sexualité sans limite est prioritaire.

Le droit des hommes à la sexualité sans limite surtout. Les femmes se sentent obligées de prendre des hormones à vie pour ce droit des hommes. Qui eux mêmes se sentent obligés d'exercer ce droit pour cause d'identité masculine.

Telle est la vision dominante actuelle. Seuls des fêlés, les allumé-e-s lesbiennes radicales ou écolos ou cathos y dérogent.

Sommes nous réellement libres ?
Sommes nous réellement féministes ?

La fureur des partisans du droit à la sexualité sans limite - dès lors qu'il y a "consentement" des partenaires - lors que la réalité biologique est simplement énoncée, la répression de plus en plus intense contre les soignants qui ne supportent pas de tuer des êtres humains commençant, l'interdit fait aux jeunes de réaliser, de voir, la simple réalité biologique que représente un début de vie humaine et sa fin, lorsqu'il leur est "enseigné" comment se comporter et choisir dans leur vie, me paraissent aussi effarant que la violence et la répression contre les femmes qui veulent choisir avec qui elles vivent, qui veulent décider ce qu'elles font de leur propre corps, et le déchaînement de mépris et de sadisme contre celles qui se sentent incapables de vivre une grossesse.

Dans les deux cas, il s'agit d'imposer la "réalisation de soi" par l'asservissement ou la mort d'autrui, dans les deux cas il s'agit d'une logique attribuant aux uns plus de valeur et de droit à être qu'aux autres.




Elles ont pardonné


La haine est un choix de valeur, et non pas une pulsion primaire.


Récits d'avortement

IVG : L'accès au droit< br />
 


Contact : marineperin @ gmail.com Twitter : @MarinePerin Instagram : @MarinettePerin


 IVG : Ma grand-mère, ma mère et moi









"J'ai avorté plusieurs fois" #CeciNestPasUnCintre


IVG des adolescentes, Dr Debost - Une Journée dans un Planning Familial


Dr Debost


 

( et si l'on disait aux adolescent(e)s qu'il vaut mieux attendre d'avoir trouvé la femme ou l'homme dont vous voudrez avoir un enfant pour en concevoir un ? )


IVG : une journée dans un planning familial


https://youtu.be/wld8nY4HyqQ



2014 Les Maternelles



Le site mentionné par le Dr Faucher :

https://www.ivglesadresses.org/

Comment avorter ?
https://youtu.be/B1Sh0zNVFq8

Au Maroc :




Simone Veil explique la loi sur l'avortement | Archive INA

https://youtu.be/30b1-R2ObxU

"" Être enceinte, quelle galère ! - Toute une histoire "

Il faut vraiment des détraqués comme Pierre Bergé pour penser que la grossesse soit un travail ...

 

Ma femme est morte en donnant la vie



IVG et les pères ...

https://youtu.be/Wm2-Z7Kfcw4




Ma femme a décidé d'avorter - #REPLAY #TouteUneHistoire

https://youtu.be/HMWYH9-kNvU


L'histoire de Cindy, d'Aline et ? sur leur IVG


autres témoignages de jeunes femmes
http://elisseievna.blogspot.fr/2017/12/lhistoire-damelie.html

https://youtu.be/iVjwLnH9Jy0

Cindy


  https://youtu.be/u_yZD5164Bw


19 ans




https://youtu.be/d8Eys5pZAD0

" Aline Sadness "

 

IVG : Le combat continue - L'Autre JT




Avortements et Psychose puerpérale, l'histoire d'Anne Personne

https://youtu.be/nm-2tRUxkNw






Famille SDF cherche logement désespérément à Draguignan


N'avortez pas surtout ...

https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/famille-sdf-cherche-logement-desesperement-draguignan-1181881.html


Océane et Mickaël arpentent les rues de Draguignan, avec leur bébé de huit mois. Au chômage, ce jeune couple ne peut se loger et lance un appel à l'aide.
Par Catherine Lioult Publié le 24/01/2017 
" On est à la rue, avec un bébé de huit mois et on nous dit qu'on n'est pas la priorité ".
Océane Vitiello prononce cette phrase, complètement désarmée. Avec son compagnon Mickaël et son bébé Thiméo, elle parcourt les rues de Draguignan. Le couple est au chômage et ne perçoit que 800 euros par mois d'allocations, ce qui ne lui permet pas de se loger.

(...) des solutions sont bien proposées par le conseil départemental du Var, mais pour quelques jours, à chaque fois.
Sylvianne Lagny, conseillère technique des travailleurs sociaux,  explique que le 115 en période de froid attribue rarement des places pour plusieurs jours d'affilée. 




Israel envahi




Les Européens et les Musulmans des pays islamiques qui ont persécuté les juifs et rendus leurs pays Judenrein, qui se posent en militants pro-Palestiniens me font marrer. 
Qu'ils dédommagent les juifs qui se sont enfuis de leurs pays pour en Israel ou en Amérique ou en Chine...
Qu'ils dédommagent les victimes de pogroms, les juifs qui avaient toujours vécu en terre d'Israel sous la férule romaine, ottomane ou anglais EN ISRAEL AVANT l'indépendance d'Israel, du fait de l'enseignement de la haine islamique. 
Il y aura alors assez de fonds pour dédommager PLUSIEURS FOIS les palestiniens non juifs bien moins nombreux qui étaient en Israel lors de la libération d'Israel de ses pouvoirs occupants, et qui sont partis ou ont été expropriés (?).

Israel : une femme s'interpose entre jeunes palestiniens et jeunes soldats israeliens

" نحتاج لنساء شجاعة لتوقف دوامة العنف "

" Nous avons besoin de femmes courageuses pour arrêter le cycle de la violence "
Sami Al Deeb



 

Douglas Murray : " The Strange Death of Europe "





  
THE STRANGE DEATH OF EUROPE
IMMIGRATION, IDENTITY, ISLAM
Douglas MURRAY
Bloomsbury, mai 2017, 343 pages


« Je suis voyageur et marin, c'est-à-dire un menteur et un imbécile aux yeux de cette classe d'écrivains paresseux et superbes qui, dans les ombres de leur cabinet, philosophent à perte de vue sur le monde et ses habitants et soumettent impérieusement la nature à leurs imaginations. Procédé bien singulier, bien inconcevable de la part de gens qui, n'ayant rien observé par eux-mêmes, n'écrivent, ne dogmatisent que d'après des observations empruntées de ces mêmes voyageurs auxquels ils refusent la faculté de voir et de penser. »
Discours préliminaire au Voyage, Louis-Antoine comte DE BOUGAINVILLE (1729-1811)


Néoconservateur et homosexuel assumé, Douglas MURRAY est un esprit libre et lucide. Ce jeune intellectuel anglais, né en 1979, conjugue avec un même talent l’écriture – journalistique ou littéraire – et le commentaire politique. Directeur associé de la Henry Jackson Society, il intervient fréquemment dans la presse écrite et audiovisuelle anglo-saxonne pour dénoncer, entre autres, la ridicule « bien-pensance » du politiquement correct (political correctness en anglais).

Souvenons-nous. Dès la fin du XVIIe siècle les chancelleries occidentales s’attachèrent avec beaucoup de sérieux à ce qui allait devenir la « question d’Orient  (1) ». Il s’agissait alors pour les grandes puissances européennes d’accompagner le recul de l’Empire ottoman. Ce repli turc devint inéluctable avec la bataille de Zenta (2). Celle-ci se traduisit par une défaite cinglante du sultan et aboutit à la signature, en 1699, du traité de Karlowitz. Dès lors, Londres, Paris, Saint-Pétersbourg et Vienne n’auront de cesse, dans un jeu subtil de balancier, de s’opposer ou de s’allier entre elles, avec ou contre la Sublime Porte. La France, l’Angleterre, la Russie veilleront à accroître leur influence, agrandir leurs empires coloniaux respectifs au détriment des Ottomans, tout en s’efforçant de contrer le plus possible les intérêts des autres capitales européennes. Il résulta de ces politiques contradictoires une diplomatie alambiquée et des alliances conjoncturelles surprenantes avec le Padichah (3). Ce dernier faisait trembler la Chrétienté depuis sa conquête de Byzance (4) et, par deux fois déjà, avait assiégé Vienne (5) ! Cependant, le Grand Turc devenu, selon l’expression du tsar Nicolas Ier, « l’homme malade » du continent, ne cessa de reculer jusqu’à son effondrement final en 1918.

En ce début agité du troisième millénaire, l’Occident a singulièrement perdu de sa superbe. C’est l’Europe qui a pris les traits d’une vieille dame malade ! Et l’islam n’y est pas étranger. C’est la thèse admirablement exposée dans The strange death of Europe.

Avec ce nouvel opus, l’écrivain – athée, mais authentique défenseur de l’héritage judéo-chrétien de l’Occident, – nous présente une réflexion majeure sur l’actuelle Trahison des clercs. L’Europe se meurt ou plutôt, nous explique-t-il, elle se suicide. Le constat est sans appel dès la première phrase de l’introduction : « Europe is committing suicide. » Cette mort consentie ne laisse pas d’intriguer. Et d’aucuns de s’interroger sur L’étrange défaite d’un continent entier. Les deux phrases suivantes annoncent les développements de l’ouvrage sur 19 chapitres : « Or at least its leaders have decided to commit suicide. Whether the European people choose to go along with this is, naturally, another matter. »

Inventeur de la démocratie et dépositaire d’une civilisation qui puise ses valeurs à Jérusalem, Athènes et Rome, le Vieux Continent est fatigué. Pis, il n’a plus foi en lui. Ce berceau de la civilisation qui abrite le Parthénon, comme le rappelait l’humaniste Stefan ZWEIG, s’est mis à douter de lui après avoir enfanté deux épouvantables totalitarismes – le communisme et le nazisme – qui se sont soldés par un nombre absolument effarant de victimes. Les dirigeants ouest-européens appuyés par la majorité des milieux intellectuels et artistiques en vogue ont, depuis la fin du second conflit mondial, renoncé à exercer tout magistère moral autre que celui d’une repentance exacerbée et, pour dire les choses simplement, tout à fait exagérée. Cet autodénigrement, systématique, irréfléchi, a conduit nombre de personnalités très éduquées (celles qui, hélas, dictent les goûts et les modes) à s’égarer totalement dans leur appréciation du monde postcolonial. Les pays du Croissant ont retrouvé leur indépendance et, de ce fait, une fierté légitime. Cependant, la misère économique, la brutalité politique et les guerres se sont étendues des rives méridionales de la Méditerranée jusqu’au Cachemire âprement disputé entre les deux États issus du démembrement des Indes britanniques. Des liens historiques devenus séculaires et le prétendu besoin de main d’œuvre dans les anciennes puissances coloniales, fortement défendu par un patronat avide de gains rapides mais sans aucune vision à long terme, ont conduit les gouvernements britannique, français, belge et allemand à ouvrir les portes des usines aux anciens colonisés. Ces derniers sont d’abord venus pour le travail et puis, au fil du temps, diverses politiques de regroupement familial ont abouti à une immigration de masse, de peuplement disent certains.

Des esprits chagrins, et cependant clairvoyants, n’ont pas manqué de rappeler que les hommes ne sont pas interchangeables comme des objets de commerce. Chaque être humain à ses qualités propres mais est aussi l’aboutissement d’une éducation, le fruit d’une culture particulière. Ce devrait être une évidence mais le rappeler vous fait passer dorénavant pour un dangereux extrémiste de droite et, qui plus est, un fieffé raciste. Las, il n’y a de politique que celle fondée sur la réalité. Voici pourquoi ce livre est particulièrement bienvenu.

Le 20 avril 1968, dans une allocution restée célèbre, le conservateur britannique Enoch POWELL (6) mettait en garde ses compatriotes contre une immigration déjà très déraisonnable et dont il prévoyait les effets délétères à long terme. L’orateur fut acclamé par le peuple anglais et méprisé par les élites. La classe politique s’empressa de suivre l’exact contraire de ses sages recommandations. On le sait, nul n’est prophète dans son pays… sauf Mahomet !

Depuis ce discours de bon sens mais vilipendé, quatre décennies se sont écoulées. L’essayiste vient à point nommé pour le reprendre, l’étoffer et l’étayer. Présentement, ce n’est plus un pays en particulier qui est concerné mais un continent entier. Il ne s’agit plus de dénoncer – pour tenter d’y remédier – les difficultés sociales d’adaptation d’une population caraïbe dans les îles britanniques. Il importe d’affronter le formidable défi que pose l’arrivé de millions de musulmans sans bagage culturel suffisant, sans formation professionnelle adéquate pour s’intégrer dans une Europe frappée par une double crise économique et politique.

MURRAY n’est pas ROUSSEAU et c’est heureux ! Il n’appartient pas à « cette classe d'écrivains paresseux et superbes qui, dans les ombres de leur cabinet, philosophent à perte de vue sur le monde et ses habitants et soumettent impérieusement la nature à leurs imaginations  ». L’Anglais s’est donné la peine de parcourir l’Europe. Aussi bien à Lampedusa (Italie) qu’à Lesbos (Grèce), il est allé à la rencontre des réfugiés arabes, africains et asiatiques qui échouent par milliers dans des conditions dramatiques. Il les a vus, il les a écoutés et s’est entretenu avec eux. Il ne nous cache rien de leur tragédie. Ce qu’il nous rapporte, par exemple, de l’odyssée d’une jeune Afghan fuyant la barbarie des talibans est particulièrement poignant. Cependant, le Britannique constate que ces « migrants », essentiellement des hommes jeunes et musulmans, s’ils ne fuient pas tous des pays en guerre, sont toujours à la recherche de meilleures conditions économiques et beaucoup considèrent qu’elles leurs sont dues. La méfiance puis l’hostilité s’installent rapidement entre les indigènes – jamais préalablement consultés – et les nouveaux venus. Et l’auteur, qui s’interroge, de pointer de-ci de-là des comportements étranges, pour ne pas dire agressifs, de la part des arrivants. N’aurait-on pas pu installer des camps de réfugiés sous l’égide de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge en Turquie et ailleurs en Méditerranée orientale, voire en Afrique Nord ? Pourquoi ne s’est-on pas adressé à quelques États richissimes du golfe Arabo-Persique pour mettre en œuvre une nécessaire solidarité musulmane ? Rarement sollicitées sur cette question les autorités locales l’ont généralement éludée. Plus directs, certains hauts responsables des pétromonarchies ont justifié leur refus d’accueillir des coreligionnaires d’autres pays, à cause des différences culturelles…

En Europe, à l’heure du multiculturalisme triomphant, il serait indécent d’émettre le moindre doute sur l’éventuelle difficulté à intégrer des millions d’êtres humains originaires d’horizons totalement différents de celui qui fonde deux millénaires de civilisation occidentale judéo-chrétienne. Apparemment le Vieux Continent est le seul endroit de la planète où des étrangers peuvent s’installer en exigeant des populations locales qu’elles les accueillent sans rechigner, modifient leurs traditions sans barguigner. Tolérance et ouverture à l’autre sont les deux mamelles d’une politique à la fois ésotérique et élitiste mais parfaitement incompréhensible pour les peuples continentaux. Soudain, les Allemandes apprennent qu’il n’est pas prudent de marcher seules dans les rues. Leur façon de se vêtir ne sied pas aux us et coutumes des Orientaux et peut inviter au viol. Bien entendu, si un grand intellectuel algérien fait le lien avec la condition des femmes en terre d’islam, immédiatement une légion d’idiots utiles le voue aux gémonies dans un grand quotidien parisien. Des Suédois sont interloqués en écoutant leur Premier ministre, Fredrik REINFELDT, pérorer : « Only barbarism is genuinely Swedish. All further development has been brought from outside ( 7). »

Si les Britanniques peuvent s’enorgueillir de Londres devenue une extraordinaire ville-monde dynamique et ouverte à toutes les civilisations, certains ne manquent pas de constater que la population anglaise de souche y est désormais minoritaire. Faut-il s’en réjouir ? Les statistiques démontrent également que l’intolérance à l’homosexualité, la détestation des juifs et le mépris de la gent féminine vont croissant au fur et à mesure que l’islam investit les quartiers…

Les patries de Goethe, Ibsen, Michel-Ange, Mozart, Shakespeare et Voltaire n’en finissent plus de battre leur coulpe. En 2015, Angela MERKEL, s’est imaginé conjurer une démographie déclinante et faire acte de contrition en ouvrant l’Europe à un mouvement migratoire sans précédent. « Wir schaffen das » (On peut le faire) a-t-elle proclamé ! Injonction bien téméraire qui masque la volonté de satisfaire un patronat à courte vue et une culpabilité existentielle face au nazisme. La Chancelière oublie que l’économie ne peut se réduire à des chiffres et que pour produire des richesses il faut faire œuvrer ensemble des hommes le plus harmonieusement possible. La fille de pasteur semble ignorer la distinction entre éthique de responsabilité (verantwortungsethisch en allemand) et éthique de conviction (gesinnungsethisch). L’économiste et sociologue allemand, Max WEBER (1864-1920), a fort brillamment disserté sur ce point. Comment la Bundeskanzlerin fédérale a-t-elle pu, à ce point, négliger les enseignements de l’auteur de L’Éthique protestante et l’esprit du capitalisme (8) ?

Mais qu’importe puisque les belles âmes humanistes ont rejoint la position de Madame MERKEL. Toutes, dans un bel élan de générosité, invitent leur prochain à réserver le meilleur accueil possible aux migrants qui donne à la vieille Europe l’occasion inespérée de se régénérer ! Cependant, MURRAY nous avertit à propos des politiciens européens : « They appeared to have no awareness of the fact that from the Muʼtazilites (9) in the tenth century to the Iranian Ali Dashti(10)  in the twentieth century, Islamic history had witnessed many reform movements and many reform-minded individuals, all of which had been defeated by the force, arguments and appeals to authority of the fundamentalists(11). »

Invoquant l’histoire, le penseur britannique remet les pendules à l’heure. Ainsi, l’arrivée des Huguenots, en Angleterre, à la fin des années 1680 et la venue de travailleurs italiens ou polonais, en France, dans la seconde partie du XIXe siècle ne peuvent être comparées au chaos migratoire actuel. Il souligne également – et cela ne plaira pas – que tous les modèles pour assimiler ou associer les communautés musulmanes à la culture des pays d’accueil se sont fracassés. L’intégration française et le communautarisme britannique constituent les échecs les plus patents. Mais les tentatives belge, suédoise, hollandaise n’ont pas mieux réussi. Croyant impossible d’arrêter ce flux d’immigration, l’auteur préconise de le réduire pour mieux le maîtriser. Il invite les gouvernements à renoncer à l’irénisme béat. Ces derniers doivent assumer leurs responsabilités. À charge pour eux de mettre en œuvre des politiques efficaces pour intégrer des allogènes sans mettre en péril l’identité et la cohésion de l’Europe.

Le déni de réalité est encore aggravé par la lâcheté de nos tartufes moralisateurs. Et l’écrivain de déplorer les attaques, particulièrement indécentes, dont les intellectuels musulmans démocrates et réellement progressistes sont la cible depuis une trentaine d’années.

Rappelons le déchaînement de violence au Royaume Uni contre Salman RUSHDIE après la parution, en 1988, de son roman, The Satanic Verses (Les Versets sataniques). Le romancier anglo-indien fut condamné à mort par l’imam KHOMEINY et cette sentence fut approuvée publiquement par le célébrissime Cat STEVENS, récent converti à l’islam ! La Somalienne Aayan HIRSI ALI qui force l’admiration par son courage physique et son parcours intellectuel a été obligée de partir en Amérique devant l’incapacité des autorités des Pays-Bas à la protéger efficacement. Cette Africaine, excisée dans son pays d’origine, qui a fui un mariage forcé – mais également réussi des études supérieures à Leyde avant d’entamer une carrière politique en Hollande, a été des mois durant insultée, traitée de raciste et menacée de mort. Son crime est d’avoir dénoncé l’hypocrisie d’une société néerlandaise qui, au nom du multiculturalisme, ferme les yeux sur la maltraitance dont souffrent les immigrées musulmanes de la part des hommes de leur communauté. On peut aussi citer le cas de l’universitaire d’origine égyptienne, Hamed ABDEL-SAMAD. Ce dernier, qui vit en Allemagne, est sous protection policière rapprochée depuis la parution, en 2014, de son livre Der islamische Faschismus: Eine Analyse(12).

Remercions Douglas Murray pour son courage. Au terme d’une analyse rigoureuse et implacable, il a dressé pour l’Europe entière, le diagnostic qu’avait déjà établi pour la France, par deux fois au XXe siècle, deux penseurs d’exception : Julien BENDA et Marcel BLOCH.


Winston BELMONTE


Notes :
1  Cette expression fut utilisée à partir de la fin du XVIIIe siècle.
2  Le 11 septembre 1697 dans la Serbie septentrionale.
3   D’origine persane et jadis orthographié padischah, le terme désigne, en turc, l’empereur ottoman dans sa double acception spirituelle (calife) et politique (sultan). En islam, rappelons-le, il n’y a pas de séparation entre les pouvoirs religieux et politique. Les deux sont confondus sous une même autorité.
4   Le 29 mai 1453.
5  En 1529 et 1683.
6  Par allusion à un passage de l’Énéide de VIRGILE, cette déclaration fut baptisé le « discours des fleuves de sang » (the “River of Blood” speech) alors que son auteur l’appela le « discours de Birmingham » (the “Birmingham speech”). Le texte faisait plus spécifiquement référence à l’immigration des Jamaïcains.
7  Page 250.
8   Max WEBER publie son livre, Die protestantische Ethik und der “Geist” des Kapitalismus, en 1905.
9   Mouvement qui tenta d’interpréter le Coran d’un point de vue rationaliste. À l’encontre de l’opinion dominante, il considérait que le livre révélé de l’islam était créé.
10  Ali DASHTI (1894-1982) reçut une éducation religieuse chi’ite traditionnelle avant d’entreprendre une carrière d’écrivain et d’homme politique. Il est célèbre pour son livre, 23 ans, dans lequel il étudie la vie du Prophète d’un point de vue rationaliste.
11   Page 154.

12   La version anglaise, Islamic Fascism, a été publiée en 2016. En France, après bien des péripéties, l’ouvrage a paru, en 2017, chez Grasset sous le titre Le fascisme islamique. 


Islam : ni mensonge, ni caricature




Deux attitudes me scandalisent concernant l'islam : le mensonge et la caricature.

Les caricatures infantiles et cradingues à la Charlie Hebdo, cinq minutes peut être mais ensuite : overdose ...
La seule critique autorisée de l'islam en France est le mode de la dérision totale de ces caricatures, un mode qui en fait n'est qu'une interdiction puisque tout ce qui est exagéré dit on s'anéantit.

Autre forme de caricature de la réalité, plus grave celle là est évidemment l'assimilation des "musulmans modérés" aux musulmans selon la loi islamique. En fait, évidemment, comme dirait Monsieur de la Palice, être musulman selon la loi islamique n'est pas être modéré, puisque la loi islamique est barbare, mais les personnes demeurent personnellement libres, les parcours et idées des individus sont aussi variés qu'il y a de personnes, et les gens doivent être jugées qu'en fonction de leurs actes personnels.

Quant au mensonge qui consiste à "distinguer islam et islamisme car seul l'islam politique est politique" et autres fadaises, il consiste à prendre la majorité pour incapable de discernement et de maîtrise de soi, il s'agit de pure et simple escroquerie intellectuelle.


Valentin, 7 mois, IMG

L'histoire d'Amélie, l'histoire de Rozalia, l'histoire de Deborah .......









" La douleur de détruire "




" Le roi répondra et leur dira :
" Amen, Je vous dis : dans la mesure où vous avez fait à un de ces frères de Je les plus petits, à Je vous avez fait. "

" Amen, je vous dis : dans la mesure où vous ne l'avez pas pas fait à l'un de ceux-ci, les plus petits, pas à Je vous l'avez fait. "

" Ces rêves, ces associations, ces états d'âme, après un avortement."
" elle est tuée..., elle se tue..., elle est jetée comme un déchet ..."

" La douleur et l'angoisse n'ont pas disparu avec ce que l'on appelle improprement la "légalisation de l'avortement". Mais elles peuvent presque disparaître du champ de la conscience. Si c'était de l'oubli progressif de la peine, ce serait bon. Si c'est le déni de la douleur, il y a danger."

" Le grand mécanisme "négationniste" : nier la douleur de l'autre à la suite du déni inconscient de la sienne; désirer provoquer chez l'autre de la douleur et la nier en même temps ; ou encore enseigner ce déni à d'autres pour le garantir en soi. "

" L'inconscient, lui, n'a pas les mêmes subtilités de catégorie. Pour lui, toute grossesse est signe d'enfant."

" On a blessé et supprimé un futur sujet ; le sujet voit et souffre, il n'a pas voulu cela."
" Le plus profond désir du sujet : ne pas tuer puisque s'il tue, il souffre comme sujet. Tant que si l'autre vit, voici qu'il vit lui-même davantage.
Ce que vous avez fait aux plus petits de Je, c'est à Je que vous l'avez fait."

Je n'indique pas ici qui a écrit ces phrases. Car leur interprétation m'appartient et m'est personnelle sans doute, subjective.




embryon 8 à 10 semaines
 


IVG et féministes

Maya Surduts sur l'IVG
 
 CAtherine FAvier
 

 Maya, Thérèse ...

" On a pratiqué des avortements.
On avait un peu peur des flics c'est vrai, et on avait aussi un peu peur qu'il nous arrive quelque chose avec la femme qu'on avortait. ...
J'ai su après, j'ai su bien après, elles auraient pu mourir en quelques minutes avec un collapsus ...
Je vous rappelle que c'était la cause de mort la plus fréquente pour les femmes de 18 à 50 ans ...
" Des femmes ont été cureté à vif à l'hopital, il fallait les punir pour avoir péché " Maya
" Un flic m'a dit " j'ai été aux moeurs, on comptait à l'époque 500 000 avortements par an dans la région parisienne " ...
" Elles nous entubaient un peu sur le nombre de semaines, on faisait des avortements aux alentours de dix semaines, mais il y en a certainement plus tard. Je me souviens que le dernier avortement que j'ai fait c'était sur une petite portugaise, et là le foetus était tout formé .... j'avoue que j'ai été très contente que la loi arrive, vous savez c'est ... moins drole."


Thérèse Clerc


de l'oeuf à l'embryon

Les 6 premiers jours






 Les premières divisions du zygote











 embryologie

 4 semaines
 

 5 semaines échographie 1 mois (5 semaines)
embryon 8 à 10 semaines
 


9semaines de grossesse 4,3 cm

 Sexe foetal et échographie du 1er trimestre de la grossesse Docteur Bernard BENOIT

 Echographie à 10 SG ou 12 SA

 11sa et 4j 9 sg et 4 jours bébé bonheur

 Échographie de Myriam à 12 semaines (8 sept. 2011)

 Première vidéo de bébé 13 semaines

 ma grossesse gemellaire a 15 SA+3 ♥

 grossesse gemellaire

 


Souris de 2 jours
















deux heures


Distinction indispensable entre les réalités distinctes


Confusion et indécences de la gauche défenseuse du " vrai islam"



Distinction indispensable entre les réalités distinctes

Des personnalités de gauche s'indignent, le méchant Edwy Plenel les accuse d'une croisade contre les musulmans, alors que non, pas du tout, elles seraient seulement contre l'" islamisme" et "les islamistes ne sont pas musulmans ".

Voir par exemple cette vidéo de l'émission C dans l'air et les propos de Laurence Taillade ou les déclarations de Manuel Valls à BFM.


Bien sûr que si les islamistes sont musulmans, et la loi islamique inclue les actes contraires aux droits humains,

La réalité est que certains musulmans n'appliquent pas toute la loi islamique, 

Pour certains parce qu'ils ne l'approuvent pas ou dans d'autres cas parce qu'ils n'en ont pas l'occasion, la volonté, ou le courage,
donc pour des raisons variées et fort differentes,

C'est une autre question que celle de savoir qui est musulman et ce qu'est l'islam,

Dire qu'ils y aurait une theorie islamique et une dérive politique islamiste et des musulmans distincts des islamistes en raison de cette différence théorique est un mensonge et une imbécilité reposant sur la confusion la plus épaisse,

il y a des tentatives d'élaborer d'autres theorie, non abouties.
Il y a des conduites differentes, des applications de la charia distinctes, 
il y a donc des gens qui se disent musulmans pour diverses raisons et qui n'appliquent pas et n'ont guère envie d'appliquer la loi d'Allah du coran et la tradition, et qui donc se sentent bien dans les lois françaises,
mais sans plus, ni plus ni moins.

Confondre sous un même mot, "islam", des réalités aussi distinctes que la loi et les phènomenes de son application, par exemple, relève soit de l'imbécilité profonde, soit de l'escroquerie volontaire, au choix.
Car depuis le temps que l'on débat de ce sujet, les clarifications ont largement pu être faites, au moins parmi les gens qui se prétendent intellectuels, donc sauf parce ceux qui ont des raisons de ne pas vouloir les voir.



Taxé d'extrême droite contre " menacé de mort " : l'indécence de la plainte de cette gauche là

S'ajoute à cette confusion intellectuelle et à cette manipulation permanente, l'indécence des plaintes de ces personnages qui ne cessent et continuent d'accuser les auteurs de critiques de l'islam d'"islamophobie" et de haine des musulmans et d'être "d'extreme droite" et de vouloir un génocide contre les musulmans, et .... viennent pleurnicher contre le vilain Plenel en disant qu'il les condamne ainsi à mort ...

JE suis condamnée à mort par vos accusations répugnantes, vous les incultes qui pensent que dire ce que les savants de l'islam ont toujours dit de l'islam serait raciste ...


" Edwy Plenel "est un grand journaliste, qui a été le patron de la rédaction du 'Monde', qui a créé un site, Mediapart, dont tout le monde salue le travail que font ses journalistes. (...) Et quand on reprend [sa] phrase exacte, où il me cite par ailleurs, où il nous assimile à l'extrême droite, c'est très grave. C'est très grave. C'est un appel au meurtre. Et on ne joue pas avec cela", a déclaré Manuel Valls à RMC et BFMTV.


"Accuser de mener une croisade [référence à un article de Mediapart titré 'la Croisade des imbéciles', NDLR], ce sont exactement les mêmes mots, c'est la sémantique utilisée par les islamistes, utilisée par la propagande de Daech".

"Quand vous avez une partie de la rédaction de Mediapart qui explique que l'islamisme en tant que tel, en soi, n'est pas un problème grave, qui explique que je suis l'héritier de Déat, c'est-à-dire des fascistes des années 1930, moi qui lutte contre l'antisémitisme, qui ai fait face à une campagne ignoble antisémite, qui lutte contre tous les racismes (...), qui accuse des intellectuels de mener des croisades, on nous désigne", a-t-il insisté.

Bergé/ St Laurent : Fabrice Thomas : " je prie vraiment régulièrement pour ces enfants de Marrakech "


" Marrakech depuis des décennies est un lieu pour la pédophilie, où des homosexuels riches viennent assouvir leurs fantasmes."
" Le jardin Majorelle était un lieu de rencontre gay. Jacques Majorelle déjà il y a cent ans ... "
" Jamais, jamais, jamais je n'ai vu d'orgies à la villa Majorelle"
" Il y a beaucoup d'enfants qui viennent du bled, ils n'ont que des cailloux pour jouer. Ils n'ont même pas d'état civil. Ces jeunes enfants peuvent disparaitre, personne ne viendra les réclamer. "


https://youtu.be/XV22RB0Ajdw




Les bases du féminisme sont a reprendre en Russie ...


Il vaut certes mieux entendre cela qu'être sourdes, mais enfin ... il y a du boulot les filles !


Konstantin Malofeev 
Tsargrad TV :

« Nous sommes pour la décriminalisation de la violence conjugale. C’est nous qui sommes derrière cette loi. L’Etat ne doit pas intervenir dans les familles. La famiille est sacrée. »




Le néo-esclavagisme européen dans toute sa splendeur



" Europe will clearly need immigration in the coming decades, so we have to provide those who want to come, and are able to come, and whose situation makes it possible for them to come, with legal paths to get to Europe."


Jean-Claude Juncker 
interview à Deutsche Welle  28 novembre 2017


"P'tain j'ai envie d'niquer, qu'on m'amène des putes, y' a bien des salopes disponibles quoi !"

Voilà à quelle mentalité correspond ce type de discours (!)

L'Europe vieillit, qu'elle s'en débrouille seule, elle n'a pas à tabler sur le malheur en Afrique pour résoudre son problème. 
Il faut au contraire souhaiter à l'Afrique que sa population ait la même longévité que nous. 



Résidence alternée : cafouillage total


" je symbolise l'égalité et le rôle du père, je fais prendre conscience à mes parents de leur devoir "



Voir les débats à l'assemblée :




Résumons la proposition de loi remoulue par la commission.

Soit le texte ne change rien et il ne sert à rien.  Il ne s'agirait plus que d'inscrire deux adresses de l'enfant tout en laissant la même liberté aux parents et aux juges.

Soit il impose au juge d'ordonner la résidence alternée sauf  " exceptionnellement ", et alors il est dangereux.

Résidence alternée : un mode de vie qu'aucun adulte ne supporterait longtemps et que la majorité des couples divorcés ne demande pas !!!

Il s'agirait selon des député-e-s d'une loi enseignant un symbole, celui de l'importance de la présence des deux parents à égalité. On va donc imposer un mode de vie nomade permanent jusqu'à leur majorité aux enfants de divorcés, sauf "exception",  pour "symboliser le rôle du père " ou "l'égalité des sexes" ? ...  

Le gouvernement maintient un texte  d'affichage qu'il voulait faire passer pour afficher une politique
"égalitaire et progressiste", après l'avoir modifié fondamentalement en le rendant bancal et confus,  alors que ses effets potentiel ont soulevé les protestations de tous bords.

Zut, au cours des débats le gouvernement s'aperçoit qu'il y a un problème financier du à l'impact fiscal d'une telle mesure, avec un effet probablement désastreux pour les femmes seules. Bon, d'accord, mais cela fera l'objet d'un amendement, répond la ministre. Cafouillage total.

Belle illustration de la loi du " en même temps " maximal.

Indicateur du sérieux avec lequel ce gouvernement considère les aspects humains ...

Les députés ont été particulièrement graves et sérieux dans ces débats. Arrêtons là ce projet ....


Eco féminisme




















Voir articles précédants :


Ecofeminism/शक्ति


Mother Earth and Women are the creative energies that sustain life on Earth and in our homes and communities.

Capitalist Patriarchy defined Nature as dead, as mere raw material to be exploited. Women were defined as passive, as a "second sex". Their knowledge was not counted by the reductionist, mechanistic paradigm of science. Their work in sustainance was not counted by the reductionist mechanistic paradigm of "growth" based on GDP which measures only what is commodified and traded, not what nourishes us. Economies based on greed and profits have exploited the earth and women. It has created the illusion of limitless growth on a planet with limits.

Ecofeminism, as part of Earth Democracy, recognises that all beings are creative, intelligent, productive. That women have sustained the economy of care and well being.That as an earth family we are all equal, and violence against the earth and women is not acceptable. That all of us, women and men, are called on by the earth to contribute to the work that is needed for the well being of the earth and society.

Femmes semencières : 



L'objectif de ce Mouvement est de relier à travers le monde toutes celles et ceux qui le souhaitent pour faire vivre des projets de reproduction et de conservation de semences vivantes et reproductibles.
Le Mouvement des Femmes Semencières souhaite favoriser l'émergence d'oasis de la biodiversité partout dans le monde, par l'information, en facilitant les transferts de compétences, les rencontres, les échanges de semences et de plantes.


































Seeds of Freedom :

http://www.seedsoffreedom.info/


Encore des députés pour imposer la résidence alternée .... !


Pour mémoire mon article de 2014 sur le sujet :

http://www.bvoltaire.fr/proposition-de-loi-pour-residence-alternee-des-parents/


Au nom de l’égalité… des parents, principalement, et sous prétexte du droit d’être élevé par ses deux parents, comme si le devoir et droit de visite n’existaient pas, le Code civil a instauré, pour des enfants souffrant déjà de la séparation de leurs géniteurs, la peine de nomadisme à perpétuité.
Premier coup : papa et maman ne s’aiment plus. Deuxième coup : une vie avec un sac de voyage. À se demander ce que l’on fait sur cette terre…
Souvenons-nous que c’est au nom de l’égalité que la loi sur la garde alternée a été instaurée en France en 2002 alors que les pédiatres ont montré ses effets désastreux, d’autant plus désastreux que l’enfant est petit. Beaucoup ont parlé à son propos de « premier jugement de Salomon ». Peu se sont élevés pour contester l’enfant coupé en deux. Et un certain nombre de féministes ont mené un débat qui, à mon avis, ne les a pas honorées, en accusant les opposants à cette loi de vouloir perpétuer l’obligation faite aux femmes d’avoir la charge principale des enfants. Bien sûr, le fait que des hommes tentent de faire peser cette charge principale sur elles est une réalité et doit être critiqué… mais pas aux dépens des enfants.
D’autant que la loi de 2002 est un bel instrument pour les pères pervers pour maltraiter leurs ex. Cette loi a en effet été instaurée en France, avec sa pire version, permettant au juge d’imposer cette alternance contre la volonté d’un des parents. « C’est pour leur bien », objectent les parents la bouche en cœur, « nos enfants ont besoin de nous deux, épanouis, vivant nos nouvelles passions, chacun dans nos nouveaux petits chez-nous ».
Je propose, devant tant de bonne volonté, de remettre les choses à leur place, chacun dans son rôle, et d’inverser la loi. Si résidence alternée il y a, ce sont les parents qui devraient alterner leur résidence, et c’est l’enfant qui devrait avoir une maison unique, une résidence permanente.
Je propose donc que l’article 373-2-9 soit ainsi rédigé : « En application des deux articles précédents, si les deux parents en sont d’accord, la résidence de l’enfant étant fixée au domicile d’un des parents, chacun des parents pourra y résider alternativement pour exercer son devoir de garde de l’enfant. Si les deux parents en sont d’accord, la résidence de l’autre parent pourra être utilisée comme résidence secondaire par le parent chez lequel est fixée la résidence de l’enfant, durant la présence de l’autre parent au domicile de l’enfant. »
Je me demande combien il y aura de volontaires pour vivre la valise à la main.

Christiane Rochefort, roman rappelé par Hypathie

http://hypathie.blogspot.fr/2014/04/christiane-rochefort-la-porte-du-fond.html

Christiane Rochefort - La porte du fond

La porte du fond - Editions Grasset - Par Christiane Rochefort - Prix Médicis 1988.
"C'est l'histoire d'une fille de 8 ans qui compte les jours qui restent avant sa majorité, de sa guerre contre un père incestueux. "Le combat a duré sept années. J'en ai perdu chaque bataille. Mais pas la guerre." "


Ecouter Mathilde Brasilier : 
http://elisseievna.blogspot.fr/2015/10/resilience-selon-mathilde-brasilier.html
Lire le lire : 
http://elisseievna.blogspot.fr/2016/10/livre-de-mathilde-brasilier.html